22 juillet 2013

Viens..... Voir les comédiens..

Avignon, l'été, les affiches qui volent dans l'air brûlant, une journée avec les copines, les théâtres minuscules et étouffants, c'est juste le pur bonheur.


Au pied du Palais des papes. Dedans le "In", je ne sais pas ce qui s'y passe.


Dehors, c'est le "Off", et je suis a la fête!


On part de bonne heure le matin, sept filles dans la voiture, le catalogue sur les genoux pour celles qui peuvent lire en voiture.


Je l'ai étudié avant, ce catalogue, j'ai des envies, mais les copines ont téléphoné aux copines, d'autres spectacles ont été choisis, je suis le mouvement, les places sont réservées, on y va.


Je suis déçue par le premier spectacle, obscur et complique ce Discours a la nation de Asciano Celistin, belle performance de David Murgia, un comédien belge, mais faudrait m'expliquer le sens cache de son propos, un truc politique avec la pluie, une chose devant la porte, des miettes, des trucs...
Pleeease, la clef!
La production nous a emmené du Théâtre de la manufacture a la Patinoire, en bus bondé, j'aime pas être debout, et au retour, ils oublient de venir nous chercher. Un bus providentiel de la ville s'arrête a notre niveau, et je préfère payer pour rentrer en ville, la patinoire, c'est loin!...


Après le déjeuner, on s'entasse dans un minuscule théâtre pour écouter un merveilleux chanteur. Laurent Viel vit et fait partager l'émotion des textes du répertoire français comme personne. Un vrai bonheur. Il a pourtant fait éteindre la clim de son théâtre mouchoir de poche, surchauffé, et carrément puant la transpiration, moi comprise.


Un peu de frais pendant le repas, et puis, y avait plus de place sur la place. Sous les marronniers couverts d'affiches.


Place des châtaignes. C'est moi qui les ai entraînées vers cette jolie placette, elle tient un grand rôle dans le roman que je suis en train de lire, dont l'histoire se passe a .....Avignon, durant le festival. Tu sais, l'été du festival tout raté, tout de guingois, celui de la grève des comédiens. Le livre est passionnant, tu retrouves l'ambiance du festival, tu le vis de l'intérieur, j'aime l'écriture hachée et vivante de Claudie Gallais, j'en suis au milieu, je lis lentement pour faire durer le plaisir plus longtemps.


Bon.. A va voir quoi maintenant, Faustine?

Ben dis donc, Faustine, c'était pas tellement une bonne idée d'aller s'intéresser aux Shaggs, groupe de rock raté des années soixante. Mais c'était amusant. Très joli décors, dehors, a la Parenthèse rue des Études, et au premier rang, on a eu de la place pour allonger les jambes, c'était déjà ça de gagne!

Allez, c'est moi qui décide de la programmation de notre prochaine sortie, et si j'aime pas, je ne pourrai me plaindre qu'à moi-même!










02 juillet 2013

Champagne!

Sous la pression de la demande populaire, merci Cécile, Max et les autres, j'entrouve les persiennes de ce blog fermé  depuis trop longtemps. Et je vais essayer de les tenir ouvertes.

Des les premiers jours de ce joli mois de juin 2013, j'ai décidé de compter le nombre de bouteilles de Champagne qui allaient être ouvertes devant moi. On rentre de Malaisie, et c'est la fête. On part avec les amis en Espagne, et c'est la fête. A Labastide, la on ne compte plus!
Je le dis alors? Même pas honte? Non, non, pas alcoolo, je ne les ai pas toutes bues a moi toute seule, j'ai eu de l'aide, mais j'ai bien pris une a deux coupettes (peut être même trois) de chacune des trente et une bouteilles dont les bouchons ont saute de plaisir devant nous tous réunis.

Avec maman au restaurant de mon cousin, LE BRUANT a Saint Porchaire, c'est lui qui a offert le Champagne.



Avec les copains en Espagne, on ne s'embête pas, on fait une table de filles, une table de gars, comme ça on peut parler d'autres choses que de golf, et on ne manque pas de sujets de conversation! (Il en manque sur la photo, cette année, nous étions 16). 
Tous les soirs, on fait "apéro Champagne" dans une chambre a tour de rôle, a raison de deux bouteilles par soir.


Pour fêter la naissance de la gentille Tilia, toute douce, toute mignonne, un amour.


C'est le papa de Tilia qui nous a envoye cette bouteille, car il n'était pas invite a ce dernier dîner a la maison. Stif, je suis sûre que tu n'as pas tant de rancunes que ça! Et cette bouteille faisait partie des dix que nous avions partagées chez vous quelques jours avant. Merci Stephen. Merci a vous, tous mes amis.

Maintenant je commence a compter celles de juillet!