Ma vieille maison

 Devant la grange des chèvres, Elles s'appelaient Perlou et Perlette, c'était il y a longtemps, les hortensias viennent du jardin de Josy.

 Et encore dans la grange d'à côté, le verrou est d'époque, il a survécu au temps qui passe, à la modernité, on dirait du Land  Art. J'aime bien, je le trouve beau.
Maintenant, devant les deux vieilles granges, on fait la fête, la fête des marches, on boit le Champagne, on a oublié Perlou et Perlette, et on s'amuse bien.

Dans la journée, sous une chaleur torride, monsieur Garden repeint les fenêtres et les volets, là, c'est l'après midi, il peint la fenêtre de notre chambre, celle qui regarde le nord.

Barcelona

Au marché de la Boqueria, sur la Rambla,
C'est une avalanche de fruits et légumes, j'ai acheté de ces abricots, gros juteux, murs à point.

Que voilà de belles cagouilles, un clin d'oeil à mon Juju, qu'elles eraient bonnes avec de l'ail et du persil.

Moi, ça me donne envie de cuisiner,

On vend aussi des jus de fruits frais, ils font des melanges etonnants, fruits et legumes, fruits entre eux, ils sont vendus sur les étals du marché, même après un petit déjeuner de roi à l'hotel, je n'ai pas resisté à un jus cerise-abricot-lait de coco.

Côté "marée" les langoustines, les crevettes et plus loin les coquillages, attendent de se presenter en plateau de fruits de mer, bientôt, avec les amis.

Guirlandes qui ne depareraient pas au Nouvel An Chinois.

Figues et fraises fraîches, à nous, les pots de confitures.

Bilbao, suite et fin, et peut être même fin de ce blog

Blog toujours cassé, un truc entre Picassa et Blogger.


Maintenant je peux poster mes photos à partir de Picassa vers le blog mais une par une, dans un nouveau post à chaque fois.
Je suis perdue, je n'arrive pas à cerner mon problème.

Bilbao Part four

Bilbao part Three

Bilbao part two

Blog toujours cassé, un truc entre Picassa et Blogger.
Maintenant  je peux poster mes photos à partir de Picassa vers le blog mais une par une, je suis perdue, je n'arrive pas à cerner mon problème.

Blog cassé, je ne peux plus entrer de photos. J'ai fait tout un tas de manip avec les cookies auxquels je ne comprends rien, la preuve, plus rien ne marche...

Bilbao

Bilbao again, cette fois çi, avec mes photos, il faisait froid ce jour là, et il pleuvait.
La statue marche, et l'Homme aussi.

Le magnifique batiment moderne brille sous la pluie, les connaisseurs (Patrick, archi) disent que c'est sous la pluie qu'il apparaît dans toute sa magie.

Trois superbes Venus Espagnoles (photos volée au musée) et je n'ai pas cherché à savoir qui était le sculpteur!

Magie du batiment à l'extèrieur, magique à l'intérieur.
Choc émotionnel intense à la découverte de la sculpture en acier dans la salle Arcelor Mittal, La Matière du Temps, de Richard Serra.
Photo volée, encore une fois, on a pas le droit de prendre des photos à l'interieur, même si les flash crépitent de partout, ma photo ne rend pas justice à l'oeuvre, c'est juste pour donner une idée.

Les jolies tulipes de Jeff Koons, j'adore.

On arrive, et la brume envahit le plan d'eau devant le museo, une sculpture d'un auteur inconnu de moi encore une fois, derrière, pas devant bien entendu.

De loin on entend le brouhaha; Une manif dans les rues de Bilbao?
Non, ils sont tous dehors sous la pluie, ils prennent un pot devant les differents cafés qui jalonnent la rue, les cafés sont minuscules, et dehors on peut fumer!

Sur la route

Sur la route again, cette fois çi, nous partons vers l'Espagne et le célébre musée de Bilbao.
Il fallait trouver le temps, entre la Costa Brava et Labastide, c'est dommage de laisser la maison avant de voir mes rosiers tout fleuris, mais nous avions vraiment envie de voir cette batisse magnifique et les oeuvres d'art qu'elle renferme.

Nous l'avons beaucoup vu ces dernières semaines à la télévision, la fameuse araignée de Louise Bourgeois, morte à New York il y a seulement quelques jours.
MAMAN symbolise la maman tisseuse d'amour, la maman de Louise Bourgeois, qu'elle a perdue bien trop tôt dans sa vie.

Une autre vue du museo, le long de la rivière.
 Je ne suis pas à Bilbao encore, je viens de piquer toutes les photos de ce billet sur Google Image, je ne sais pas si elles sont protégées, je ne sais même pas comment se renseigner et demander les autorisations, alors je ne demande rien et hop, je colle les images choisies ici.

Ah qu'il est beau, le célébre puppy de Jeff Koons! celui ci est couvert d'un jardin fleurit,  j'ai hâte de venir l'admirer et de tourner autour avec mon appareil photo.

Musique

Alan Mottram dirige avec joie et un bonheur très communicatif un orchestre amateur, composé  d'instruments à vent et à percussion.

Le public, par ce bel après midi printannier, se garde du soleil, et a repoussé les chaises à l'ombre du grand mur.

Il fallait voir tout le monde taper la mesure avec entrain, lors de la deuxième partie, qu'on ne voit pas sur cette page, lors de l'execution d'un morceau joyeux de Glenn Miller.

Par contre, les malheureux musiciens sont restés au soleil.

Mais heureux malgrè tout de faire partager leur passion aux passants, qui trouvaient un hâvre de fraîcheur lors d'un après midi de shopping.

 

On a eu de la chance, des dames très aimables, nous ont laissé leur place assises et à l'ombre.

La flutiste s'est gardé une pince à linge de rab, en cas de grand coup de vent.

Voici d'ailleurs tout son stock en état de marche.

Ah! super! elle n'a pas oublié de l'enlever lors d'un trio avec ses camarades, devant tout l'orchestre.

Et voilà Alan emmenant tout son monde et son public dans une composition endiablée de musique irlandaise.
Vous la connaissez vous aussi, c'est celle des irlandais de troisième classe dans le Titanic, juste avant de rencontrer un gros glaçon dans la mer du Nord.
Alan est anglais et vit, comme beaucoup de ses compratriotes, dans cette jolie ville qu'il a adopté et qui en retour, l'a adopté avec grand plaisir.

Comment on fait la plage

On croit que la plage est plate et propre grace à la mer, au vent, au sable, aux grandes marées qui la lisse et l'embellisse.

 Que nenni, la main de l'homme y est ausssi pour quelque chose.

 La main et ses gros engins. On prend le sable d'un coté, et on le remet d'un autre.

Et nous, entre les deux, on pousse un bébé endormi sur la promenade.

Ici, c'est l'autre bout de la conche, qui a accumulé le sable pendant l'hiver, qui est dégagé pour remblayer le côté plus creux.

Là où seront installées les belles tentes àrayures bleues et blanches.

Dejeuner dehors

Le buisson couvert de petites roses accueille les visiteurs du jardin, il ne fleurit qu'une fois l'an, et c'est maintenant la semaine de floraison,  au bon moment.

Car justement mes very important visiteurs jouent dans l'allée, près du rosier.

Ils jouent à l'ombre du grand prunier qui lui même loge une araignée du matin. C'est un prunier qui donne tant de petites prunes jaunes qu'on ne peut pas tout ramasser. En aout, le sol autour devient de la marmelade.

Toujours la bonne semaine, quand les pivoines sont en fleurs.

Alors pour avoir moins de marmelade dans l'allée, cette annnée, j'ai essayé de faire tomber les prunes encore vertes. Mais cette petite bonne femme les trouve, les suce et meme les croque avec grand plaisir.
Quelquefois, elle croque aussi les gravillons.

Et puis, il fait beau, on mange dehors.

Kew Garden

Les Kew Gardens, a l'ouest de Londres sont celebres, et attirent de nombreux visiteurs.

Nous avons pris un immense plaisir a promener Gabrielle dans les allees du parc, le soleil brillait, une petite brise rafraichissait le bout du nez du bebe.

Les avions survolent les sculptures d'osier, les sculptures sont magnifiques, les avions tres bas, trop bas, trop d'avions.

Le jardin se trouve dans la ligne des pistes d'atterrissage de l'aeroport d'Heathrow, un avion survole cet espace de paix et de serenite toutes les quatre minutes, si bien qu'il n'y a plus de paix, plus de serenite aux Kew Gardens.
A moins de les trouver a l'interieur de soi, de laisser l'enchantement des yeux occulter le desagrement des oreilles.